Le confinement a créé de nouveaux besoins, et ce, notamment financier. La majorité des investissements ont fait faillite. Certains ont perdu leurs emplois. D’autres ont perdu une partie de leurs revenus. Ce qui impose de nouvelles mesures et de nouvelles solutions. Nouveau ? Pas tant que cela dans la mesure où la majorité des Belges se sont tournés vers les crédits bancaires.
La reprise du crédit immobilier
Le crédit immobilier est le premier à reprendre après le confinement en Belgique. Selon les experts en effet, la pierre est le seul investissement fiable en ce moment. Et pour compenser les pertes d’argents que vous avez vécus en confinement, se lancer le plus tôt possible dans ce genre de placement est conseillé.
Investissement locatif, SCPI, nue-propriété, résidence secondaire ou résidence principale, etc. : vous avez l’embarras du choix. Le crédit immobilier vous permet de profiter d’un capital de plusieurs dizaines de milliers d’euros sur 20 ans en moyenne. La durée de l’emprunt peut affecter le taux et le cout général de votre emprunt. Donc, faites attention pendant votre simulation.
Pour rappel, le crédit immobilier est un prêt affecté. À ce titre, vous devez fournir des justificatifs à la banque : promesse de vente, compromis de vente, etc.
Le crédit renouvelable : la nouvelle tendance belge
Selon l’expert-comptable Ixelles, Uccle, Ixelles, Saint-Gilles ou à Bruxelles, le crédit renouvelable est aussi la nouvelle tendance en Belgique. Les simples particuliers et même ceux aux chômages peuvent avoir recours à ce type d’emprunt afin de payer leurs charges ou servir de réserve d’argent.
À titre de rappel, le crédit renouvelable est un prêt personnel sans justificatif avec un petit capital de 600 à 6 000 euros sur 12 mois minimum et renouvelable tacitement. C’est un financement idéal pour régler les mensualités en retard ou pour combler la perte de revenu partielle ou totale à cause du confinement.
Le taux proposé par les banques dans le cadre de ce genre de crédit est pour le moins acceptable de nos jours. Ce qui ne vous empêche pas de comparer les offres pour être sûr de faire le bon choix.
Le crédit professionnel : un moyen de sursis pour certains établissements
Après ces quelques semaines de confinement, se remettre sur le marché n’est pas aussi facile pour tous les prestataires et commerces. D’autres doivent combler un définit financier important à cause de ces 2 mois sans soldes. D’autres n’ont plus de quoi se lancer dans des programmes marketing et dans le financement des mesures sanitaires obligatoires pour rassurer et séduire de nouveau leur clientèle. Pour avoir quelques semaines de sursis, une seule solution : le crédit professionnel.
Selon l’expert-comptable à Ixelles, ce peut être une bonne idée afin de permettre à l’entreprise de tourner de nouveau de manière optimale et de gagner de l’argent pour booster le chiffre d’affaires de cette année au maximum. Les banques proposent des facilités de payement dans le contexte actuel, et ce, allant jusqu’à vous proposer 3 mois sans mensualités après la signature du contrat pour vous permettre de vous retourner.